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Message de votre thérapeute

vendredi 10 novembre 2006, par Marie-Claude

Médecin généraliste et urgentiste pendant 25 ans, mon expérience m’a convaincue que la prise de médicaments n’agit pas suffisamment sur la cause des maladies. Un colon sale est responsable de nombreuses pathologies chroniques, c’est pourquoi je pratique l’hydrothérapie du colon depuis 1990, cette méthode moderne du lavement que nos grands-mères avaient l’habitude de faire deux fois par an à leurs enfant.

Certains médecins deviennent cardiologues parce que leur père est mort d’un infarctus très jeune, d’autres deviennent neurologues ou psychiatres pour mieux comprendre la pathologie d’un proche. Pour ma part, j’ai fait ma thèse sur le dépistage du cancer du colon grâce à un ami radiologue. Le sujet m’intéressait parce que j’avais un grand père qui avait un cancer du colon.

A cette époque, il y avait 40000 décès par an dus au cancer du colon en France. Quand j’ai ouvert mon premier cabinet médical en 1981, ma première patiente était une femme agée de 65 ans, dépressive. Elle avait des problèmes chroniques de douleurs de l’abdomen et constipation, je lui ai prescrit une coloscopie : elle avait un cancer du colon. J’ai arrêté l’exercice de la médecine en 2000 : le tout dernier acte que j’ai fait était pour constater le décès d’un monsieur de 46 ans qui venait de mourir d’un cancer du colon.

D’après les statistiques actuelles, il y a 80000 décès par cancer du colon par an en France ; alors que l’on fait beaucoup plus de dépistage qu’en 1980 : en ce temps là, le dépistage ne se faisait pas systématiquement.

Les causes de cette augmentation du cancer du colon est l’alimentation polluée de produits chimiques toxiques ingérée dès le plus jeune âge, et aussi le mauvais équilibre alimentaire trop riche en pâtes, en viande et sans légume, en particulier chez les enfants (qui ne veulent pas manger de légumes et encore moins de soupe) la constipation, la présence de parasites et de candidas dans l’intestin.